L’aquamarine, couleur presque liquide, ni bleue ni verte, est le lien qui unit ces tissus, ces papiers anciens et cette magnifique peinture chinoise de la toute fin du XVIIe siècle.
Les images se répondent à travers les continents et les siècles : face à face d’un petit garçon chinois et d’un poisson jaune des récifs coralliens… Il se crée des connivences subtiles entre des images que rien ne semble rapprocher mais qui, ensemble, écrivent un rêve éveillé, comme un poème visuel.